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Maires en Francophonie
En 1979, l’AIMF a été l’une des premières organisations francophones mise sur pieds, une étape majeure dans la construction d’une Francophonie institutionnelle.
Depuis 1995, l’AIMF est reconnue comme Opérateur direct de la Francophonie. A ce titre, elle contribue à la mise en œuvre des grandes missions tracées par le Sommet de la Francophonie, et porte la voix des Maires auprès des instances francophones.
L’AIMF, OPÉRATEUR DE LA FRANCOPHONIE
Aux côtés de l’Agence Universitaire de la Francophonie, de TV5Monde et de l’Université Senghor d’Alexandrie, l’AIMF est l’un des 4 opérateurs de la Francophonie qui contribuent à la mise en œuvre des grandes missions tracées par le Sommet de la Francophonie :
– Promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique
– Promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’Homme
– Appuyer l’éducation, la formation, l’enseignement supérieur et la recherche
– Développer la coopération au service du développement durable
Trois textes ont marqué cette reconnaissance de l’AIMF comme opérateur :
- La Résolution 6, votée en octobre 1993 à Maurice, reconnaît la spécificité de l’AIMF, composée de responsables politiques locaux, et réaffirme son rôle stratégique dans le développement urbain. C’est à l’issue de cette résolution que l’AIMF est devenue un opérateur associé de l’Agence Intergouvernementale de la Francophonie (ancienne ACCT).
- La Résolution 19, votée en décembre 1995 à Cotonou, considérant la place prise par l’AIMF dans la mise en place des politiques de développement des municipalités francophones, et soulignant son rôle dans l’appui au processus de démocratisation, reconnaît l’AIMF comme opérateur direct des Sommets de la francophonie.
- L’article 2.5 de la Charte de la Francophonie, adoptée à Antananarivo le 23 novembre 2005 par la Conférence ministérielle de la Francophonie, mentionne l’AIMF comme opérateur direct et reconnu du Sommet, qui concourt dans son domaine de compétence aux objectifs de la Francophonie tels que définis dans la Charte.
PORTER LA VOIX DES AUTORITES LOCALES EN FRANCOPHONIE
En portant la voix des collectivités locales dans les instances de la Francophonie, l’AIMF s’attache à défendre et à soutenir la mise en œuvre des processus de décentralisation et d’une démocratie locale impliquant, autour des élus locaux, les autorités déconcentrées de l’Etat et la société civile.
Les Résolutions des Sommets et Conférences ministérielles de la Francophonie font ainsi régulièrement mention du rôle des autorités locales et de l’AIMF sur les différents sujets d’intervention, ce qui constitue un appui important.
LA FAMILLE FRANCOPHONE
L’AIMF entretient également des liens très étroits avec les acteurs de la Francophonie institutionnelle que sont :
- L’Organisation Internationale de la Francophonie
- TV5Monde
- L’Agence Universitaire de la Francophonie
- L’Université Senghor d’Alexandrie
- L’Assemblée Parlementaire de la Francophonie
- La Conférence des Ministres francophones de la Jeunesse et des Sports (CONFEJES)
- La Conférence des Ministres francophones de l’Education Nationale (CONFEMEN)