Nous vivons aujourd’hui dans un monde qui, au lieu de prendre la mesure de tous les défis auxquels nous devons faire face — défis climatiques, défis liés aux dérapages des nouvelles technologies, risques de toutes sortes qui guettent l’humanité entière —, s’enlise dans les conflits. Un monde de plus en plus uniforme où, comme un paradoxe, se multiplient les divisions. Dans Le Devoir, Christian Desmeules se fait l'écho du grave et inspirant essai récemment publié par l'Académicien Amin Maalouf : "Le Labyrinthe des égarés".
